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LEXIQUE DES MOTS ET EXPRESSIONS EMPLOYES DANS LES « TEXTES » (juin 2001, par JEAN PLATANIA)

 

 

Avertissement de l’auteur


Bien que très peu de citations apparaissent entre guillemets, un lecteur familier des « Textes » aura remarqué qu’une grande part de ce lexique est constituée d’extraits des différentes communications reçues à ce jour. C’est cette large place faite à l’emprunt qui nous a conduits, par souci de légèreté de lecture, à ne citer aucun intervenant. On reconnaîtra, dans ce document, tous les interlocuteurs habituels des dialogues de J.C. avec les V.E.T.

L’astérisque placé après un terme indique que celui-ci (ou un mot de la même famille) possède sa propre entrée dans le présent lexique et renvoie par conséquent le lecteur à sa définition.

 


 

Agissement : Géométrisation de la Pensée* s’exerçant, pour notre espèce, à l’état semi-conscient. Exprime la foi en raison de sa manifestation irréfléchie, dans le même temps où la pression de l’ambiant* lui impose la direction. Facteur d’appréciation de la qualité existentielle chez les espèces pensantes. Contrairement à l’acte, ne peut se vivre collectivement.

 

Ambiant : Dans la cosmogonie des V.E.T., exprime la densité existentielle des espèces dépendantes du principe volume/Vide*. D’essence multidimensionnelle* puisque fragment de la masse ectoplasmique*. Son avènement est le résultat des explosions « implosives » des galaxies. Sa fonction a pour objet un équilibre permanent, sans cesse actualisé, entre quantité et qualité. Sa géométrie interne, de forme spirale, participe aux états de suspens*. Précisons toutefois qu’il est vécu par la Loi d’Alternance Osmotique*.

 

Capacité d’admissibilité d’impression : Faculté dont la qualité résulte de l’amalgame cellulaire propre à chaque existence. Deuxième volet de l’échange « donné-reçu-transmis », elle suscite la pertinence du questionnement. Son étendue délimite la pensée ou tout au moins sa fonction provisoire.

 

Curvilinéaire : Etymologiquement, désigne une ligne courbe et peut aussi convenir à un espace courbé par les masses volumiques qu’il contient, en raison du phénomène d’attraction. L’accentuation formelle de cette géométrie est liée au principe volume/Vide*.

 

Cyclique : Substantif employé dans le domaine de la temporalité, évoquant une boucle fermée. Le Temps Dimensionnel est un cyclique du Temps absolu, générant les cycliques existentiels en lesquels les espèces vivent leur évolution. Ces cycliques sont une démultiplication d’ambiants*. Un cyclique a une durée variable en fonction du mouvement de la syzygie* spatio-temporelle. Son terme annonce l’ordonnancement dans la fusion constante de la masse ectoplasmique* selon une trajectoire spirale.

 

Désuperposition (a) - Resuperposition (b) : (a) Etape charnière de la dynamique des flux* par laquelle l’informationnel* procède au formationnel* en diverses localisations existentielles. (b) Phase inverse du précédent processus conduisant à la régénération du provisoire dans la fusion constante de la masse ectoplasmique* avec, pour effet, un positionnement dans le nouvel ordre produit.

 

Dimensionnel : S’applique à toute entité offrant plusieurs plans de perception en symbiose avec la consistance de l’amalgame cellulaire qui opère. De l’unidimensionnel au pluridimensionnel, son usage est le plus souvent réservé au Temps. Lorsque ce dernier se livre à un « exercice d’assemblage » des composants cosmogoniques, on peut affirmer que sa dynamique se décline en « dédimensionnalité » fonctionnelle affectant chaque strate.

 

Directionnel : Souligne principalement l’orientation d’un flux*. Issu de l’ambiant*, ce dernier est à la naissance des existences auxquelles le directionnel, investi par le « donné », imprime les fluctuations de la Pensée*. L’Intelligence Divine*, qui « dirige » le directionnel, va jusqu’à se livrer à des accès de fulgurance* - lesquels sont porteurs d’une forte charge sémiologique - dans le cadre de la force d’attraction. Peut, selon le cas, ne pas être contrôlable ou l’être partiellement et la même chose est vraie pour sa détection.

 

Ectoplasmique : Le plasma est un quatrième état de la matière entretenu par une température supérieure à celle d’un gaz. Le préfixe « ecto » atteste une consistance, même invisible. Formant une masse de précellules* ayant fusionné par effet de condensation dès les faisceaux parallèles, elle se présente de ce fait comme un amalgame de Temps et d’Espace épousant le mouvement issu du fixisme originel*. Productrice des ambiants* et réceptrice du resuperpositionnement*, elle est le foyer de la Création. Sa chaleur interne est entretenue par des explosions « implosives » qui en font un objet « fluctuant ». Les particules ectoplasmiques rendent compte d’un état de transparence attribuant aux Espèces qui le vivent la capacité de fulgurance mimétique*.

 

Espace-Vide : Le Vide, réservoir inépuisable d’énergie, « mobilise » un mouvement générateur de formes. L’Espace-Vide est la première de celles-ci et sa provenance en fait le garant de la Situation Etablie. Son mouvement rotatoire le projette à la périphérie du Vide avant que l’accélération croissante ne réifie certaines de ses portions en Espace volumique (cosmos). Il occupe chaque faisceau parallèle subdivisé, lieu des états de suspens*. La chaleur qui l’habite le rend propice à la condensation et au mouvement de la masse ectoplasmique*.

 

Eternité : Etat d’abolition du Temps, « constitutionnellement » associé au Père. En désuperposition*, la vie consciente non discontinue ou éternité existentielle assimilable à l’immortalité, est le privilège des Espèces fluidiques qui interviennent dans l’échange gazeux existentiel. Deux points sont à retenir toutefois : y compris pour ces dernières, toute modification du Temps Dimensionnel entraîne une rupture* dans l’état de conscience des espèces (1). la création permanente, issue du fixisme originel*, ne peut se rapporter qu’à l’éternité sous ses diverses formes puisqu’elle est d’origine divine.

(1) Ne vivant pas un état de conscience éternelle, ils ne peuvent avoir accès à l’originel, au commencement proprement dit.

 

Fixisme originel : Etat d’équilibre absolu à partir duquel s’enclenche la dynamique spiralienne*, source de création permanente. La réversibilité attachée au resuperpositionnement* des situations provoquées ne peut s’épandre que d’un état fixe à partir duquel on apprécie le mouvement. Cette singularité figure la Pensée*, en marge de l’exercice d’état, vers laquelle tendent les Espèces fluidiques. Il suscite sa périphérisation qui se cristallise en l’immobilisme, pour sa part familier aux Espèces transparentes.

 

Flux directionnels : La réflexion luminescente originelle conduit à la formation d’espaces délimités par des faisceaux qui prolongent leur activité sous forme de flux. Présents dans l’Espace-Vide* à des températures élevées, ils ont une direction (c’est-à-dire une Pensée* indicatrice) qui provient de l’Intelligence Divine*. Lorsque deux flux divergents se rencontrent, il y a formation d’existence et de la dimension temporelle adéquate : point de non-retour, galaxies, ruptures*, etc., sont des existences.

 

Formationnel : Aboutissement des flux* « informés » de l’Espace-Vide* qui se réifient en de la matière moins subtile, donnant lieu à la confection d’existences en raison du mouvement qui les anime. En leur consistance cellulaire, ces localisations perdent de leur temporalité pour se « volumiser » dans les couches de la superposition et s’abandonner à l’onde de forme : c’est l’hétéromorphisme.

 

Fréquences de retour : La rupture* existentielle est provisoire puisque « la rupture poursuit la rupture... ». Chaque arrêt marque une suspension de la conscience pendant l’intervalle entre deux vies conscientes. Plus l’intervalle est court, plus les retours sont fréquents. Ce cas évoque un attachement prononcé du sujet à la matière, une qualité existentielle médiocre.

 

Fulgurance mimétique : Capacité des Espèces fluidiques à faire corps avec le mouvement de la Pensée*. En cette occurrence, l’osmose est si parfaite avec le « donné », que le « rendu » a lieu dans l’ambiant* où ils reçoivent, leur octroyant la qualité de parcelles ectoplasmiques*. Le mimétisme avec les fluctuations de la masse ectoplasmique est fulgurant. L’espèce humaine, quant à elle, se voit limitée à une indigente influence mimétique. 

 

Implié : Cet attribut est souvent accolé au Temps que l’on définit alors comme un « ordre implié » ; il sied donc de l’envisager comme inveloppant* le Tout dans les flux* universels permanents que son mouvement diffuse en chaque parcelle de lui-même et de l’Espace. En chaque localisation, la plénitude de l’existence est ainsi d’actualité par la voie du manifesté*. L’ordre sert à positionner le « donné » selon un « avant » et un « après ». L’impliement plaide l’absence d’intention ou de pensée, faisant de son contenu un ensemble non situable*.

 

Inductionnisme : Néologisme bâti à partir du mot « induction » et dont l’emploi dans le « Texte » de juin 1999 fait référence à l’électromagnétisme. Il est important de relever le sens général de la phrase car ce terme peut signifier aussi « processus mental de recherche des facteurs de causalité ».

 

Informationnel : La réverbération originelle au sein du fixisme* induit la naissance de flux* directeurs destinés à « démultiplier ». La totalité de la Pensée* qui les visite, à tous les plans de leur fonction « existentialisatrice », en fait des supports* de l’information. Celle-ci, en désuperposition*, régit la législation du « faire corps » avant de se rejoindre dans l’harmonie d’une expression « gestaltique ».

 

Intelligence Divine : Dieu est inabordable à la raison puisque ontologiquement il est parfait. L’esprit qui habite chaque espèce vivante ne permet d’en saisir qu’un reflet. Pour les espèces pensantes, Son Intelligence se présente comme un amalgame de Temps et d’Espace. « Constitutionnellement » inveloppées* en lui, ces deux variables sont infinies dans leur expression.

 

Inveloppement : « Ensemble de fonctions enroulées sur elles-mêmes à l’intérieur d’un état qui s’actualise en permanence... (1) » C’est l’ordre implié* qui « exemplifie » le mieux cet état. Ce qui doit être est déjà inveloppé de manière in-formelle. L’instant révèle la forme qui demeure unique et en interaction avec le Tout. Ex : l’arbre feuillu ou chargé de fruits est un état de développement naguère inveloppé dans la graine enfouie dans le sol.

(1) « Texte » du 23 juin 1999.

 

Ipséité : Voir aujourd’hui « eccéité »... Individualité métaphysique. Ce qui fait qu’un être est lui-même et pas un autre (autrefois dans le Larousse).

 

Loi d’Alternance Osmotique : Produite par le mouvement issu du fixisme originel*, elle gouverne « l’astatisme » existentiel. De nature fondamentalement attractive, elle est le prolongement du « donné », s’actualisant au moyen de flux* directionnels. Son perpétuel mouvement nourrit une oscillation transmise aux entités en situation d’osmose, en application de la Loi de Compensation Existentielle*.

 

Loi de Compensation Existentielle : Articulée sur un échange entre deux sources ou plus, notamment lors de l’échange gazeux existentiel, elle fonctionne pour le plus grand profit de la Situation Etablie. Ainsi dans l’échange gazeux, l’air amalgamé à l’ambiant* exerce sa pression sur la capacité d’admissibilité d’impression* dans la superposition spatio-temporelle. Sa permanence crée les situations de rétablissement de l’équilibre ambiant. Elle mobilise un processus « autocorrectif » dans toutes les phases du mouvement issu du Temps.

 

Loi des Echanges : Loi jumelle de la précédente, fondée sur le « triadisme » « donné-reçu-transmis ». C’est l’Alternance Osmotique* (voir « Loi d’... ») que suscitent les fluctuations de la masse ectoplasmique* qui répartit la pression du « donné » et la qualité du « reçu ». Loi universelle inhérente au mouvement, elle normalise le processus de récursivité. D’elle aussi dépendent les mues évolutives qui prônent l’équilibre en l’équivalence de son application.

 

Lumière active et Lumière passive : L’immuable « triadisme » « donné-reçu-transmis » qui légitime le processus de compensation existentiel (cf. « Loi de Compensation Existentielle ») voit le « donné » permanent de Lumière s’échanger avec l’élément aqueux (1). La Lumière devient active car elle est, de par son origine, génératrice du mouvement qui définit la qualité des choses à vivre. Toutefois, selon les corps où elle est canalisée et échangée, sa densité et la répertorisation* qu’elle induit varient dans le même ordre que la faculté du sujet à réfléchir le flux lumineux (agissement*). La Lumière non renvoyée, soit par absorption trop importante, soit par carence dans le processus d’échange, devient passive, c’est-à-dire que sa métamorphose en élément résiduel devient la « cause causale » des ruptures* existentielles.

(1) Les V.E.T. emploient le terme « aquatique ».

 

Manifesté : Accès de fulgurance* émanant de l’immobilisme originel et consistant en un mouvement issu du mouvement qui transgresse la fusion constante des choses. Il est le produit des modifications dans l’ambiant* (climat, espèces, séismes, etc.) et demeure imprévisible car non situé, bien que traversant toutes les couches de la superposition spatio-temporelle.

 

Mise en équation perpétuée : Adaptation de la présence permanente des Espèces fluidiques et des semi-géométrisés auprès des « êtres en devenir » par l’élaboration d’une assistance appropriée à l’évolution du moment de ces êtres. Impression et expression sont vouées à un déplacement permanent.

 

Mode pulsionnel : Il se rapporte à la qualité de l’agissement* des espèces minérales, végétales et animales auquel l’échange existentiel pourvoit dans l’élasticité du rapport pression/attraction. Celui-ci, en sa structure physique, est véhiculé par des ondes d’intensité variable qui conditionnent un « transmis » obéissant à l’équivalence de la Loi de Compensation Existentielle*.

 

Mue constitutionnelle : La fusion constante de la masse ectoplasmique*, laquelle exprime l’Intelligence Divine*, a pour effet de rendre provisoire toute chose qui parvient à la rejoindre, selon la Loi de récurrence réadaptatrice*. Ce moment du systématisme originel* est la mue constitutionnelle. La création qui en résulte, permanente en sa manifestation, induit l’appartenance constitutionnelle au Père en raison même de son « lieu » d’élaboration. La mue constitutionnelle commande les changements d’état des différentes espèces que l’Harmonie universelle réclame afin de répondre aux exigences de justesse et d’équilibre réactualisés. La dynamique constitutionnelle « s’autoentretient » puisqu’elle est l’origine de tout ce qui est, la « cause causale » en quelque sorte.

 

Multidimensionnalité : Fait partie « constitutionnellement » de la profondeur infinie de la Vérité que seul le Père a rencontrée. Espace et Temps régissent des objets et des procédures que seule l’éternité* explique. Ce n’est que lors d’un positionnement situable* que le Temps devient pluridimensionnel ; le mouvement imprime alors toutes les couches de la superposition en paliers de « dimensionnalité décroissante », du pluridimensionnel de la transparence à l’unidimensionnel du géométrisé.

 

Ondo-Particulaire : La réverbération précellulaire* du fixisme originel* se prolonge en flux* de particules polymorphes et « informées ». A ce stade microscopique, la physique quantique nous révèle l’impossibilité de localiser la particule. Le courant fluidique devient alors ondo-particulaire car la particule est associée à une onde qui figure les états possibles ; la superposition de plusieurs ondes de l’espace particulaire* (fonction d’onde) récupère une localisation qui, sans cela, ferait défaut (équation de Schrödinger).

 

Osmose Attractive : C’est l’équivalent de la loi de la gravitation. Elle conditionne l’intersection des flux* procédant aux divers positionnements ; direction donnée et direction reçue s’inscrivent alors selon un ordre de qualité. Elle est le prolongement de la Loi d’Alternance Osmotique*. Notre espèce la vit en désuperposition* par la formulation d’un penser* qui suscitera envie, intention et passion.

 

Particulaire : Constituant atomique de la matière, non décelable au stade originel. En cet état de transparence, les particules, incluses dans le Vide, se révéleront être la substance ultime de la réalité. Lorsque l’eau et la Lumière évoluent dans les ambiants*, eux-mêmes vécus par l’Alternance Osmotique* (voir « Loi d’... »), leurs particules constitutives densifiées (électrons, neutrons, photons, etc.) doivent être comprises comme la projection d’une réalité plus profonde constituant un système relié aux autres particules.

 

Pensée et penser : La Pensée qui se confond avec le Temps, harmonieux, est un Tout dont la structure et la fonction sont dans l’ordre implié*. Vient ensuite une pensée propre à l’homme, capable d’accéder au mouvement parallèlement à la perception intelligente. Menée à bien, cette pensée à valeur indicative se fond dans un processus où la vie est regardée comme une plénitude. Existe enfin le penser, d’usage courant, fragmentaire et « séquentialisé » par le cogito, lequel nous abuse à travers la définition d’une réalité cohérente indépendante du processus qui la produit.

Précellules : Elles prennent vie dans le Vide sous l’effet d’un fort courant de pression et présentent des caractéristiques très polymorphes. Pourvues de l’information, elles sont à la base de l’amalgame ectoplasmique* obtenu par condensation dans les faisceaux de l’Espace-Vide*.

 

Principe volume/Vide : volume = espace, Vide = Temps. Le volume en le Vide, l’Espace en le Temps. Processus de compensation auquel n’échappe aucune existence, aucun positionnement. Plus la chose évolue dans le volume, moins elle a accès au Vide. Les cellules, pour ne citer qu’elles, sont temporelles et accessoirement volumiques comme dans la géométrisation. Principe universel, son domaine d’application n’a pas de limites puisque onde de Vide et onde de forme se conjuguent pour formuler la réalité.

 

Prise de conscience répertoriée/répertorisation : Phénomène semi-conscient ; réside dans un « ressenti » partagé par plusieurs personnes sans concertation préméditée. Facteur existentiel et situation vécue se confondent. Enregistrée par la mémoire, une répertorisation s’ensuit, permettant la résurgence au moment opportun. La répertorisation est un produit de la Loi des Echanges induit par les flux* lumineux offerts à la Loi d’Alternance Osmotique*. La capacité d’admissibilité d’impression* autorise la mémorisation inconsciente du vrai en ce qui nous concerne.

 

Recellularisation : La rupture* en l’échange conduit les cellules mémorielles à vivre en état de suspens*, recueillies dans des couloirs d’Espace où ce même échange se poursuit, pour notre espèce, à l’état inconscient. Les couloirs interfèrent avec les faisceaux fluido-luminescents qui les structurent selon leur place dans les ambiants*. Les projections des faisceaux conditionnent la connexion des cellules aptes à la reviviscence. Cet amalgame obéit à la loi du qualitatif mémoriel mais alors que pour notre espèce tout se fait en l’absence de choix conscients, notons que : d’une part les semi-géométrisés œuvrent de façon plus harmonieuse en raison de leur participation consciente au choix et de leur captage de rémanences cellulaires propres à notre espèce et susceptibles de les fluidifier davantage ; d’autre part les Espèces fluidiques - les seules qui soient aptes à intervenir dans l’échange gazeux existentiel - se chargent de cette opération lors des mues évolutives des « êtres en devenir ».

 

Reconductible corporéitaire : Partie de toute entité vivante prédestinée à la continuité existentielle. Ces cellules, appelées « cellules vraies », enferment la mémoire de l’impression des flux*.

 

Récurrence réadaptatrice : La déflexion des flux*, imputable à la stratification, engendre des situations vécues qui s’écartent de la qualité des situations à vivre. La Loi de Compensation pourvoit à la redéfinition de l’équilibre ambiant au sein de la fusion constante. S’ensuivent des situations, parfois sans liens apparents avec le désordre corrigé, ayant pour effet de satisfaire le gestaltisme de l’Etabli. C’est un mouvement récurrent de régénération à la source.

Référentiel corpusculaire : Les particules du réverbérationnisme* originel inveloppent*, tel un ordre implié*, la plénitude de la réalité multidimensionnelle*, et cet attribut leur confère, dans le voyage vers la densification, une position de repère indépassable.

 

Réverbérationnisme : Originellement, c’est une réflexion luminescente des précellules*, productrice des courants de pression et du spiralisme* multidimensionnel* qui va s’emparer du mouvement. En désuperposition*, il se retrouve dans la rencontre d’un flux* directionnel avec les couloirs du suspensif* pour l’impression d’une qualité mémorielle, laquelle se traduira en qualité existentielle. II se produit à chaque fois que le flux du courant de pensée et la pensée des espèces vivantes s’entrecroisent.

 

Revie : La mort dans l’absolu n’existe pas. La récursivité impose un passage en état de suspens* où les cellules éternelles empruntent les différentes voies de continuation : mue évolutive en bioluminescence, espacement des fréquences de retour* et revie dans l’espèce d’où le reconductible* provient.

 

Rupture : Synonyme de mort. Provisoire du fait de l’éternité* des cellules et parce que cela représente une interruption de l’état de conscience uniquement.

 

Situable : Se dit de toute fonction qui occupe une place donnée dans l’ordre implié* du Temps. Se reconnaît lors de l’assemblage du Temps Dimensionnel, lequel favorise la situabilité par rapport au vécu, à l’espace. Par rapport à l’éternité*, tout système est non situé car « assemblable » uniquement par le Père. Au regard du Temps originel, le non situable est un rempart à l’Intelligence Divine*.

 

Spiralien : Géométrie propre au mouvement issu du fixisme originel*. Le spiralisme figure ce qui est voué à épouser la dynamique de départ, de désuperposition* en démultiplication. A l’image de ce qui provient du fixisme, le spiralisme est multidimensionnel* et présent dans tous les phénomènes récursifs.

 

Subparallélisation : Division du faisceau tubulaire originel en plusieurs couloirs d’Espace-Vide* où évoluent les états de suspens* en fonction de leur qualité, sauf désordre ! Ce sont des vortex différenciés par leur dimension temporelle dispensatrice de la qualité des choses à vivre.

 

Support : Substrat polymorphe de toute existence, vécu par le mouvement. Représente la dimension volumique, indissociable dans le déploiement, de la part temporelle de chaque état spécifique. Toujours provisoire car vécu par les modifications de l’ambiant*. Lorsque l’espèce fait corps avec le mouvement, le support se métamorphose en particules ectoplasmiques*.

 

Suspensif : Etendue de l’Espace-Vide* accueillant les cellules qui procèdent à la reviviscence. Les flux* directionnels qui le traversent, entre pression et attraction, génèrent la revie*. Est intégré dans le spiralisme* des ambiants* qui reçoivent les projections de ces flux.

 

Systématisme originel : L’agencement cosmique que le Temps confectionne, grâce à son mouvement, est ce systématisme. Est mis en évidence par les lois immuables qui structurent sa connaissance : échange* (voir « Loi des... »), compensation existentielle* (voir « Loi de... »), récurrence réadaptatrice*, états de suspens*, syzygie* des flux*, etc.

 

Syzygie : Etymologiquement, fait référence à une entité réunissant au moins deux éléments en relation réciproque. Lorsqu’elle est spatio-temporelle, elle s’apparente à la loi de l’échange* volume/Vide* (voir « principe... ») qui détermine, sans figement aucun, en chaque couloir de subparallélisation*, le mimétisme existentiel en proportion de la déflexion des flux* qui le traversent.

 

Transpulvérulence : Evitement de la dispersion dans le processus d’échange. Dans les « Textes », elle souligne que la complexité de l’interaction des ambiants*, en la pression qui s’imprime, gagne à se réduire à l’Osmose Attractive* d’actualité pour pouvoir accéder à la fulgurance mimétique*.

 

Transtructuralisation : Déclenchée par les flux* directionnels, elle entraîne une modification de l’espace vectoriel propre à chaque état. Présente dans l’ordre implié*, son eccéité représente une manifestation de la récurrence réadaptatrice* de fin de cyclique*. La nouvelle structure ambiante n’échappe pas à la Loi de l’Echange dont l’application se fera selon une nouvelle équation.

 

Tubicolisme : Procédé visant à développer une action dans un tube protecteur. Dans le cas présent, il s’agit de procréation destinée à écarter les nuisances dues à un encombrement du suspensif* exagérément densifié. Amalgame confectionné en vase clos.

 

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